1914. L’Europe s’embrase, mais sur scène, c’est aussi le chaos qui règne. Un marionnettiste tente, tant bien que mal, de manipuler une vingtaine de personnages atypiques : soldats candides, généraux insensibles, infirmières débordées, poètes désabusés. Le souci ? Les comédiens n’ont pas totalement saisi leur rôle.
Peu à peu, la fresque attendue tourne à la farce : les discours patriotiques se mêlent aux chansons de tranchées, les ordres absurdes résonnent dans le vide, et les héros révèlent leur humanité.
Ah Dieu ! Que la guerre est jolie ! devient alors une satire piquante : avec le désordre et l’humour de ces pantins, toute l’absurdité de la Grande Guerre peut éclater, entre rires et larmes.
Réservations : www.mathelot.eu/theatre